jeudi 18 août 2011

Passion sicilienne



Mes yeux couleur alcool sous un borsalino
Te guettent tel Capone, en bons pistoléros,
Bourrés de vitriol, de fièvre et de sang chaud
Car mon coeur sicilien, que ce rival brisa
Rendu fou de chagrin, s'en va en Vendetta.

Mes yeux couleur mitraille, comme milles révolvers,
Te poursuivent et t'entaillent d'une pluie de bouts de verre,
Ces souvenirs en chamaille qui me changent en gangster.
Rendu fou de chagrin, mon coeur sicilien,
Que ce rival brisa, s'en va en Vendetta.

Car cette trahison risque de te coûter gros:
Couleur prohibition, mes yeux troueront ta peau,
Sans façon brûleront mon alcool le plus beau,
Et mon coeur sicilien perdu en Vendetta,
Rendu fou de chagrin, ce rival brisera.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire