Ton nez, comme chez le Sphinx, en pierre semble couler
Dans une tempête immense, qui gronde, hurle, terrible,
Une plainte du larynx dans ta voie(x) embourbée
Le sentiment intense d’un cheminement pénible.
Atchi, atcha, atchum : voici une avalanche !
Les mines obstruées, soudain, au jour explosent,
Et un long lac gelé serpente tes joues blanches,
Pour venir occuper tes fines lèvres roses…
-Mais dîtes-moi, mon cœur, vous-même pleurez du nez !
-Voyez par quel malheur notre temps enneigé
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire