Un monde sans Théâtre...
C'est un monde bien ennuyeux, où l'on est toujours sérieux, assis grognons devant une scène vide.
C'est un paradoxe: si le monde est un théâtre, le théâtre est un monde. Donc, un monde sans théâtre, c'est un monde sans monde!
C'est un monde bien bête, sans acteurs, actrices ou marionnettes. Sans ficelles ni décor, sans aucun but....sinon la mort...
Sans coulisses et sans secrets! Sans spectateurs pour admirer et chuchoter: «celui-là, c'est un menteur!»/ «Je dirais plutôt farceur»: c'est un monde sans Arlequin!
«Ces deux là sont amoureux!»/ «Oui, mais....seront-ils heureux?»: C'est un monde sans Shakespeare ni Marivaux.
«Celui-ci se vante!»/ «Celui-ci nous trompe»/ «voyez-vous cette servante?»/ «Servante? Elle? C’est la Reine! Elle arrive en grande pompe!»: c'est un monde sans illusion comique!
C'est un monde où l'on ne nomme pas les langues, car comment désigner la langue française sans Molière, anglaise sans Shakespeare ou allemande sans Goethe?
C'est un monde sans jeux, sans rôles: sans policiers et sans voleurs, sans médecins, sans chat perché, sans enfants, sans parents, sans professeurs, ....
Un monde sans répliques, sans personnages, c'est à dire sans discussions et sans modèles. Un monde sans actes, ni scènes, donc en un sens, sans conséquences...
Un monde sans rideau, donc sans fin? Sans Vaudeville, sans tromperies ou sans mélodrames et donc sans larmes....
Un monde où rien est faux, où tout est vrai....
Un monde? Non, une didascalie!
C'est un monde bien ennuyeux, où l'on est toujours sérieux, assis grognons devant une scène vide.
C'est un paradoxe: si le monde est un théâtre, le théâtre est un monde. Donc, un monde sans théâtre, c'est un monde sans monde!
C'est un monde bien bête, sans acteurs, actrices ou marionnettes. Sans ficelles ni décor, sans aucun but....sinon la mort...
Sans coulisses et sans secrets! Sans spectateurs pour admirer et chuchoter: «celui-là, c'est un menteur!»/ «Je dirais plutôt farceur»: c'est un monde sans Arlequin!
«Ces deux là sont amoureux!»/ «Oui, mais....seront-ils heureux?»: C'est un monde sans Shakespeare ni Marivaux.
«Celui-ci se vante!»/ «Celui-ci nous trompe»/ «voyez-vous cette servante?»/ «Servante? Elle? C’est la Reine! Elle arrive en grande pompe!»: c'est un monde sans illusion comique!
C'est un monde où l'on ne nomme pas les langues, car comment désigner la langue française sans Molière, anglaise sans Shakespeare ou allemande sans Goethe?
C'est un monde sans jeux, sans rôles: sans policiers et sans voleurs, sans médecins, sans chat perché, sans enfants, sans parents, sans professeurs, ....
Un monde sans répliques, sans personnages, c'est à dire sans discussions et sans modèles. Un monde sans actes, ni scènes, donc en un sens, sans conséquences...
Un monde sans rideau, donc sans fin? Sans Vaudeville, sans tromperies ou sans mélodrames et donc sans larmes....
Un monde où rien est faux, où tout est vrai....
Un monde? Non, une didascalie!
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