Tic-tac, tic-tac, tic-tac : Elles, te regardent déjà !
Le Temps lentement passe : Elles, ne te quittent pas
Et chantent : « tic-tac, tic-tac » , un rouge sourire aux lèvres
Et bienveillantes grondent : « tic-tac, tic-tac, tic-tac »
Et te guettent, crocodiles affamés, et sans trêve
Tic-tac, tic-tac, tic-tac, comme milles attaques…
*
Ding dong, ding dong, ding dong ! ça y est, cette fois, elles viennent !
Ton cœur blessé se rompt dans une immense arène
Où milles souvenirs viennent le voir périr !
Ding, …silence, dong…absence et puis déjà plus rien
Que ces petites furies aux longs crocs acérés
Qui usent tes tympans de milles mélopées …
*
Ding dong, ding dong ! ça y est, ça recommence!
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