Ô Paradis de Jean, humble, honnête retraite !
Ô Mur aux conquérants avec tes longues arrêtes !
Toi Refuge, Toi Rempart, qui renferme les rêves,
Dont les arbres et leur ombre donnent au poète la sève
Qui insuffle au sang sombre quelques airs bucoliques
Et rappelle un calme dense du fond des temps antiques !
Eden immaculé, monument d'origine
Loin des villes couronnées d'usines et de latrines,
Gangrenées de goudron sans fleurs et sans saisons !
Soigne mes urbaines passions et faisons union !
Que mes troubles, dans tes hauteurs, s'arrêtent !
Ô Paradis de Jean, humble, honnête retraite !
Un monde sans... by Jean-Baptiste Hassler est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 Unported.
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